Communauté BIC
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Greg Balycky
Directeur principal, Investissements
J’ai joint la BIC il y a près de cinq ans, et ce fut un parcours incroyable que d’assister à l’évolution d’une petite organisation en un acteur important dans le domaine des infrastructures au Canada. Mon rôle consiste à diriger les investissements dans les projets de rénovations énergétiques de bâtiments et d’installations industrielles au Canada, ainsi qu’à soutenir les occasions d’investissement dans les secteurs prioritaires de la BIC au Québec, à partir du bureau de Montréal.
J’ai commencé ma carrière dans le financement d’actifs, puis je suis passé progressivement au financement de projets dans les secteurs de l’énergie et des infrastructures au cours de la dernière décennie. Lorsque j’ai découvert la mission de la BIC, j’ai été attiré par son engagement à réaliser des investissements axés sur des objectifs précis. L’idée d’avoir un impact positif, non seulement aujourd’hui, mais aussi pour les générations futures me passionne. L’un des accomplissements dont je suis particulièrement fier est le développement et le lancement de l’initiative de rénovations énergétiques de bâtiments. Cet effort s’inscrit dans le cadre du plan de croissance de 10 milliards de dollars qui visait à combler le manque d’infrastructures au Canada tout en réduisant les émissions.
Grâce à un financement novateur, la BIC a établi de nouvelles normes de rénovations énergétiques qui améliorent considérablement tous les types de bâtiments, comme l’illustre l’investissement réalisé dans le projet de Modern Niagara à Kingston, qui vient d’être achevé. Ces progrès ouvrent la voie à la poursuite des travaux visant à réduire les émissions de l’industrie.
Je suis fier de contribuer à une mission qui met l’accent sur l’action climatique et la croissance durable. La BIC se consacre au changement durable afin d’assurer un meilleur avenir à la population canadienne et aux générations à venir.
La valeur de la BIC qui m’interpelle le plus est celle d’« innover ». Le travail de la BIC permet de réaliser des projets qui, autrement, auraient du mal à obtenir un financement, ce qui lui permet de jouer un rôle de chef de file dans la transformation du marché pour de nombreuses catégories d’actifs d’infrastructures. Il est passionnant de faire partie d’une équipe qui ne se contente pas de répondre aux besoins immédiats, mais qui crée également des solutions à long terme pour le développement des infrastructures du Canada.
Adley Ho
Analyste, Stratégie
J’ai commencé mon parcours à la BIC comme stagiaire de la Munk School of Global Affairs and Public Policy, où j’ai acquis les compétences nécessaires pour réussir dans un environnement très dynamique et en constante évolution.
Aujourd’hui, en tant qu’analyste à plein temps, je soutiens des initiatives dans des domaines tels que le développement durable, la production de rapports d’entreprise et la planification, la recherche et les relations gouvernementales. Je mène des recherches sur les matériaux de construction à faible empreinte de carbone pour les infrastructures et j’analyse le rôle potentiel de la BIC dans le soutien au développement de ces matériaux et de ces pratiques. Mon analyse a contribué à la création de nouvelles initiatives qui tirent parti du rôle d’investisseur de la BIC pour réduire les émissions intégrées, tout en s’alignant sur les priorités du gouvernement fédéral.
Une initiative dont je suis particulièrement fier est l’annonce à venir par la BIC sur les émissions financées, qui se concentre sur le développement d’un cadre pour calculer les émissions annuelles liées aux projets d’investissement de la BIC. La divulgation de nos émissions financées nous aide à nous aligner sur les normes du secteur et à rester informés des objectifs plus larges de carboneutralité, ce qui fait de la BIC une cheffe de file engagée dans ce domaine.
Dans le cadre de mes fonctions, je suis impatient d’explorer les occasions qui s’offrent à moi dans les secteurs public et privé pour améliorer les pratiques en matière de durabilité et susciter des changements significatifs dans le domaine du développement des infrastructures.
Pour moi, « Améliorer les choses pour le Canada » incarne la valeur fondamentale qui nous inspire tous à la BIC. Chaque personne vient d’un milieu différent, apportant des expériences et des perspectives uniques pour nous aider à nous unir dans notre objectif commun de faire de notre pays un meilleur endroit pour la population canadienne.
Marjorie Francis
Associée, Apprentissage et développement
Je ne me suis jamais imaginée en ressources humaines (RH) comme associée, Apprentissage et développement, mais la vie a une drôle de façon de vous guider dans des voies inattendues. Mon rôle de parajuriste m’a permis de me consacrer à la recherche et à la gestion de dossiers tout en renforçant ma passion pour l’apprentissage continu. C’est en établissant des liens avec des gens de tous les horizons et en les soutenant dans leur développement personnel que j’ai commencé à m’intéresser aux ressources humaines.
Maintenant, en tant qu’associé, Apprentissage et développement, je contribue à façonner nos programmes de formation afin de créer un environnement d’apprentissage dynamique qui favorise la diversité, l’équité et l’inclusion tout en permettant aux personnes d’atteindre tout leur potentiel. Grâce à des efforts collaboratifs, je mène des recherches et travaille avec chaque service pour personnaliser les programmes en fonction des besoins du personnel, en veillant à ce que tout le monde trouve de la valeur et de l’engagement dans ce que nous offrons.
Parmi les programmes de la BIC, le programme de bien-être est l’un des plus gratifiants, selon moi. Le programme ne se limite pas à la promotion de la santé physique, il est conçu pour favoriser le bien-être global, en soutenant le personnel sur le lieu de travail et en dehors de celui-ci. L’intégration des valeurs personnelles aux objectifs professionnels dans le cadre de ce programme a été incroyablement gratifiante.
Le chemin qui m’a mené à ce poste est loin d’être conventionnel, mais il m’a appris l’importance de s’adapter, de faire preuve d’empathie et de persévérance, ce qui m’a permis d’avoir un impact significatif à la BIC.
Célébrer nos différences, c’est ce qui m’interpelle vraiment. Chacun d’entre nous apporte des expériences, des compétences et des points de vue divers, qui enrichissent la communauté de la BIC. En tant qu’associée, Apprentissage et développement, je m’efforce de favoriser un environnement dans lequel chaque membre du personnel se sent valorisé et soutenu dans son parcours unique au sein de la BIC.
Juliette Yip
avocate générale associée
À la BIC, je combine expertise et passion, mariant mes connaissances juridiques à notre vision d’entreprise. En tant qu’avocate générale associée au sein du pôle entreprises du service juridique, je m’occupe de diverses tâches liées à l’entreprise et au commerce, et je fournis des conseils stratégiques sur des projets d’investissement couvrant les secteurs prioritaires de la BIC. De la revue des contrats à l’approvisionnement, en passant par la conformité et les questions opérationnelles, je veille à ce que les objectifs de l’organisation soient respectés.
Travaillant en étroite collaboration avec l’équipe des investissements, notre équipe joue un rôle essentiel en aidant la BIC à engager les bons conseillers pour évaluer la viabilité des projets et le potentiel d’investissement. En effectuant les revues diligentes et en menant des négociations stratégiques, nous contribuons ensemble à ouvrir la voie à des investissements transformateurs dans les infrastructures.
Au-delà de mes responsabilités sur le plan juridique, je suis profondément attachée à la diversité, à l’équité et à l’inclusion (DEI) dans le milieu de travail. En tant que membre de l’ancien Comité de diversité et d’inclusion et présidente nouvellement nommée du Comité de DEI consultatif, je soutiens une culture d’inclusion, où chaque voix est non seulement entendue, mais aussi valorisée. En promouvant la valeur « Célébrons nos différences », je m’efforce de créer un environnement où la diversité des points de vue et l’inclusion favorisent l’innovation et la croissance.
Pour moi, travailler à la BIC représente plus qu’un simple emploi; c’est un lieu où mes convictions personnelles s’alignent sur les objectifs de l’organisation : des projets d’infrastructures qui sont enracinés dans l’intérêt public. J’espère que mon parcours à la BIC me permettra de contribuer de manière significative à l’avancement d’initiatives en matière d’infrastructures durables qui non seulement stimulent la croissance économique, mais ont également un impact positif sur les collectivités et sur l’environnement.
« Incarner le meilleur des secteurs public et privé » est la valeur qui résonne le plus en moi. Ayant passé la majeure partie de ma carrière dans le secteur privé et près d’une décennie dans le secteur de l’énergie renouvelable, je m’inspire de ces expériences pour améliorer nos pratiques à la BIC. En intégrant le meilleur des deux secteurs, je souhaite renforcer notre crédibilité sur le marché.
Lei Ge
associé, Investissements
En tant qu’associé Investissements, mes principales responsabilités comprennent la sélection, l’analyse et la présentation d’opportunités d’investissement, la réalisation de revues diligentes et l’exécution de transactions dans les secteurs prioritaires de la BIC. Basée à Calgary, je me concentre sur les projets de transition énergétique, couvrant des domaines tels que la capture du carbone, la production d’hydrogène et la production de carburants à faible teneur en carbone.
J’ai commencé mon parcours dans le secteur bancaire auprès d’institutions financières canadiennes et internationales. Avant de rejoindre la BIC, j’ai passé cinq ans chez Gibson Energy, une société d’infrastructure énergétique cotée en bourse, en me concentrant sur les fusions et acquisitions et le développement d’entreprise dans l’espace des infrastructures pétrolières et gazières et de la transition énergétique.
À la BIC, j’ai travaillé à la création et à la mise en œuvre de notre initiative du capital pour l’ICI, ainsi qu’à notre premier projet dans le cadre de cette initiative, Azure Sustainable Fuels. Il s’agissait d’une première entreprise en son genre pour la BIC. L’élaboration d’un nouveau programme a nécessité un engagement important, une collaboration interne et de la créativité, et je suis extrêmement fière d’avoir participé à cette aventure.
En tant qu’immigrant qui vit aujourd’hui au Canada, je suis heureux de contribuer à la décarbonisation et à la croissance économique du pays grâce à mon rôle au sein de la BIC. Je crois que les projets d’infrastructure sont essentiels à l’économie canadienne, car ils ont un impact significatif sur l’économie, l’environnement et les collectivités locales.
La valeur qui résonne le plus en moi est celle d’« innover ». J’aime vraiment trouver des solutions novatrices à de nouveaux défis et problèmes. L’une des nombreuses façons dont j’y parviens est de m’engager auprès des chefs de file de l’industrie et des promoteurs de projets afin de comprendre leurs besoins uniques et de trouver le meilleur résultat possible qui leur permettra de construire l’infrastructure dont nous dépendons.
Oyku Nur Akkol Avci
Associée, Création de contenu numérique
En tant que créatrice de contenu numérique de la BIC, je gère le contenu qui apparaît sur notre site Web et les plateformes de médias sociaux, y compris les visuels et les vidéos. C’est un rôle dynamique qui me permet d’explorer divers aspects des projets et des initiatives de la BIC.
Avant de rejoindre la BIC, j’ai eu l’occasion de travailler avec diverses entreprises internationales et de découvrir un large éventail de secteurs et de cultures. Cette expérience a façonné ma façon de voir les choses et a grandement influencé mon approche créative de la création de contenu. Ce qui me passionne dans le secteur de l’infrastructure, c’est l’occasion d’en apprendre davantage sur les technologies de pointe et les projets novateurs comme le PRM de Darlington.
Un projet qui me tient particulièrement à cœur est celui des autobus zéro émission dans la ville de Calgary. J’ai eu l’occasion de rencontrer des personnalités importantes comme la mairesse de Calgary et la directrice de Calgary Transit, et j’ai pu réaliser les entrevues et filmer les vidéos en personne. Le fait d’apprendre que la ville de Calgary n’aurait pas pu le faire sans le soutien de la BIC, puis de partager cet enthousiasme et cette appréciation avec notre communauté par le biais de mon contenu, a été une expérience incroyablement précieuse et une source de motivation pour moi.
La valeur de la BIC « Améliorer les choses, pour le Canada » me touche profondément et c’est un engagement qui fait partie intégrante de mon travail. En créant un contenu attrayant pour notre public, je contribue au processus de génération de nouvelles opportunités, ce qui ouvre la voie à des partenariats potentiels qui façonneront un avenir meilleur pour le pays. C’est un privilège de pouvoir contribuer à une organisation qui se consacre à l’amélioration des infrastructures du Canada et qui a un impact significatif sur les collectivités partout au pays.
En tant que nouvelle immigrante au Canada, je suis particulièrement reconnaissante à la BIC de m’avoir donné l’occasion de contribuer et de grandir. C’est un sentiment gratifiant de faire partie d’une organisation qui valorise le développement personnel et qui contribue activement à l’amélioration du Canada. Chaque jour, j’ai l’occasion de créer du contenu qui non seulement raconte l’histoire de l’impact de la BIC, mais qui s’aligne également sur mes valeurs personnelles, à savoir faire la différence.
Kait Tyschenko
Gestionnaire, Mesure et évaluation de l’impact
Dans le cadre de mes fonctions à la Banque de l’infrastructure du Canada (BIC), je supervise les normes de mesure de réduction des gaz à effet de serre (GES) et ses investissements afin d’assurer la cohérence avec les meilleures pratiques internationales, y compris le protocole sur les GES et la norme ISO 14064-2. J’ai passé toute ma carrière à travailler dans le domaine des infrastructures, en me concentrant spécifiquement sur l’impact, et la décision de venir à la BIC a semblé un choix naturel : la BIC vit et respire l’impact! C’est ce que nous faisons le mieux et c’est intégré dans tout ce que nous accomplissons.
Pour moi, travailler dans un environnement diversifié et inclusif signifie que les gens ne pensent pas à leurs différences de façon négative, mais se sentent plutôt célébrés, soutenus et en sécurité dans leur milieu de travail et ailleurs. Nous méritons tous et toutes d’être des personnes authentiques, et il est important que les organisations utilisent leur pouvoir pour qu’on se sente autant en sécurité dans le monde extérieur que dans l’espace derrière leurs murs. Qu’il s’agisse de changer la perception du public, de faire tomber les barrières et les préjugés qui empêchent d’entrer sur le marché du travail ou de créer de meilleurs systèmes de soutien, tout le monde devrait se sentir habilité.
C’est pourquoi, en octobre 2020, j’ai fondé QUIN – Queer Infrastructure Network. QUIN est une organisation sectorielle transdisciplinaire axée sur l’amélioration de l’inclusion des personnes 2ELGBTQI+ dans le domaine des infrastructures, par le biais du réseautage, de la défense des intérêts et de la sensibilisation. Ayant déjà connu une homophobie déchirante dans le secteur des infrastructures, je voulais créer un espace sûr pour ma communauté, en dehors du travail, où les gens se sentent valorisés et respectés et où ils ont un sentiment d’appartenance.
Pour moi, la Fierté est une question de guérison et de soins collectifs. Cette année a été exceptionnellement difficile pour notre communauté. Alors que nous célébrons et reconnaissons la communauté 2ELGBTQI+ ce mois-ci, je rappelle aux personnes qui nous soutiennent que la Fierté ne commence pas et ne se termine pas en juin. Elle dure toute l’année et nous comptons sur nos allié·es pour continuer à se présenter chaque jour en apportant un soutien concret.
La valeur de la BIC qui m’interpelle le plus est « célébrer nos différences ». La plupart des gens ont un certain penchant pour les affinités en ce sens que les gens veulent être entourés de personnes qui leur ressemblent. Pour moi, il est important dans mon travail de m’assurer que les préjugés liés aux affinités ne m’empêchent pas d’établir des liens avec des personnes ayant des identités, des expériences et des visions du monde différentes et d’apprendre de ces personnes.
Lyndsay Brisard
Associé, Investissements
J’ai entendu parler de la BIC pour la première fois lorsque je terminais ma maîtrise en Immobilier et Infrastructures à la Schulich School of Business. J’ai eu l’occasion d’entendre des présentations des membres du personnel de la BIC, comme Sashen Guneratna et Stephen Scott, et il m’est apparu très clairement que l’organisation et son personnel se souciaient profondément de l’ESG et de l’impact. C’est la principale raison pour laquelle j’ai rejoint la BIC.
En tant que personne autochtone et ayant passé une partie de ma carrière dans l’industrie du logement social et des Premières Nations, il est très gratifiant de travailler à combler le déficit d’infrastructures dans ces communautés. L’équipe de l’Initiative d’infrastructures pour les communautés autochtones a un impact réel en travaillant sur l’infrastructure habilitante qui permet la construction de logements.
Le projet de l’usine de traitement des eaux usées de Port Stalashen en est un excellent exemple. Grâce au financement de la BIC, cette infrastructure vieillissante est remplacée et agrandie, ce qui permet d’atténuer l’impact sur l’environnement et de soutenir non seulement la construction de logements, mais aussi la croissance continue des services sociaux dans cette communauté.
Pendant mon temps libre, je siège au conseil d’administration du Native Canadian Centre of Toronto et de l’Anishnawbe Health Foundation. Des organisations comme celles-ci ont joué un rôle essentiel dans mon adaptation réussie à la vie urbaine lorsque j’ai déménagé dans la ville il y a plus de cinq ans. Il est important pour moi de faire ma part pour la communauté qui m’a tant donné.
La valeur de la BIC qui résonne le plus en moi est « Célébrer nos différences ». En vivant et en travaillant avec un esprit ouvert et en accueillant des perspectives différentes, nous favorisons véritablement notre propre croissance et notre propre développement. La créativité et l’innovation s’épanouissent, de manière fortuite, à l’intersection de ces différences.
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Shaun Stevenson
Président-directeur général de l’Administration portuaire de Prince Rupert
Enthousiasmé par son potentiel de croissance, j’ai commencé à travailler pour le port peu après mes études universitaires, et je ne l’ai jamais quitté.
Étant le troisième plus grand port du Canada, environ 23,5 millions de tonnes de marchandises y passent chaque année. En travaillant au port, non seulement je vois comment nous contribuons au commerce mondial, mais je vois aussi comment notre croissance permet de créer des emplois pour mon voisinage. Dans une communauté d’un peu plus de 12 000 personnes, il n’est pas difficile de voir notre impact. Le port fournit 4000 emplois directs, dont la moitié ici même à Prince Rupert. Notre main-d’œuvre est composée à 38 % de personnes autochtones, ce qui reflète la démographie de notre communauté.
Le projet logistique CANXPORT est en cours depuis une dizaine d’années. Il s’agit essentiellement d’utiliser des conteneurs vides se dirigeant vers l’ouest à destination des marchés de l’Asie-Pacifique, ce qui permet de libérer la capacité latente des conteneurs déjà en transit et d’accroître l’efficacité de la manutention des marchandises. Cet équilibre entre les importations et les exportations est essentiel pour les industries du Canada, mais il est difficile de mesurer les retombées économiques d’un tel projet.
La BIC a reconnu la situation dans son ensemble et l’impact significatif de cet investissement, ce qui nous permettra d’atteindre notre potentiel. Ce projet devrait permettre de traiter 6 millions de tonnes de marchandises par an et servira de catalyseur de croissance, entraînant une augmentation progressive du commerce canadien.
Dans une petite ville comme Prince Rupert, les retombées de notre travail s’étendent bien au-delà de notre communauté immédiate. Les emplois créés, les occasions économiques favorisées et les connexions mondiales établies contribuent à la croissance économique dans tout le Canada. Le port n’est pas seulement un atout local, c’est un lien crucial dans le réseau commercial du Canada, et avec le soutien de la BIC, nous sommes en mesure d’améliorer davantage cet impact.
J’appelle ça souvent des perspectives, je trouve occasions économiques difficile à m’imaginer. Mais pas faux du tout
Colin Armstrong
Cofondateur et PDG de HTEC
HTEC a vu le jour il y a 20 ans, à l’époque de l’autoroute de l’hydrogène. Cinq d’entre nous, les fondateurs, ont vu une occasion d’exploiter un sous-produit de l’hydrogène émis à North Vancouver. Nous avons élaboré un projet, travaillé avec d’autres utilisateur·rices et mis en place une petite démonstration pilote qui purifiait et comprimait l’hydrogène, le rendant ainsi utilisable.
J’ai été fondateur et directeur au sein de l’entreprise pendant les sept premières années. Cette expérience m’a permis de comprendre que l’intérêt pour les technologies propres et les solutions au changement climatique peut évoluer, mais que la crise climatique, elle, persiste.
En 2012, je suis devenu PDG afin d’élaborer un plan d’affaires et une stratégie plus larges. Depuis, l’entreprise a été intégrée verticalement, s’occupant de la production, de la distribution et lançant même une unité fonctionnelle pour les solutions de transport. Cette unité promeut l’utilisation de véhicules à pile à hydrogène, surtout dans le secteur des poids lourds.
La Banque de l’infrastructure du Canada (BIC) nous a offert une alternative à d’autres programmes de financement qui ont des contraintes de temps. La construction d’infrastructures prend plus de temps qu’on le pense, et la BIC a été en mesure d’offrir le temps dont nous avions besoin.
Avec l’aide de la BIC, nous démontrons qu’il existe un écosystème performant pour l’hydrogène. Ils ont compris qu’il fallait à la fois une offre et une demande. Cette entente soutiendra la production d’hydrogène et d’infrastructures de ravitaillement qui, à leur tour, soutiendront un parc de 300 véhicules lourds et de 2 000 véhicules légers qui n’émettent pas d’émission. Nous réunissons tous ces éléments pour démontrer notre succès. En plus de continuer à innover et à se développer, HTEC s’engage à mener la charge vers un avenir durable, alimenté par l’hydrogène, prouvant qu’avec le bon soutien et la bonne vision, les solutions d’énergie propre peuvent prospérer.
Bill Lomax
Président et directeur général, Banque des Premières Nations du Canada
Mon poste à la Banque des Premières Nations du Canada (FNBC) est sans aucun doute le meilleur que j’aie jamais occupé. Je me réjouis de me lever le matin et de diriger une équipe formidable qui s’efforce d’offrir des services financiers innovants aux communautés autochtones. Nous nous occupons du volet financier de la construction de Nations.
J’ai grandi à Terrace, en Colombie-Britannique, jusqu’à l’âge de 15 ans, lorsque j’ai déménagé à Vancouver avec ma mère. J’ai passé un certain temps à trouver ma voie professionnelle. J’ai obtenu mon diplôme de premier cycle en économie et en japonais avant d’entamer des études en droit à l’Université de la Colombie-Britannique. Toutefois, j’ai vite compris que je m’intéressais davantage à la finance et aux investissements. J’ai donc décidé de faire une maîtrise en administration des affaires et j’ai eu la chance d’être admis à la Columbia Business School à New York. J’ai ensuite commencé à travailler à Wall Street.
Lorsque j’étais jeune, je n’avais aucune idée de l’existence d’emplois comme le mien. La FNBC opère à des fins lucratives, mais sa mission est sa force motrice. Je suis heureux de voir que nous permettons aux populations autochtones de viser haut et de bâtir des communautés plus fortes en finançant des projets d’infrastructures et des projets communautaires. C’est un plaisir de voir tous les grands projets auxquels nous avons contribué à travers le pays. Notre partenariat avec la BIC permettra aux Nations avec lesquelles nous travaillons d’atteindre leurs objectifs.
Le prêt que nous avons développé avec la BIC est le fruit d’un projet sur lequel nous avons travaillé ensemble. Nous avons réalisé que nos objectifs de financement pour les communautés autochtones étaient étroitement liés. En travaillant ensemble, les communautés autochtones pourraient obtenir plus d’occasions de financement à un rythme plus rapide.
Le Programme d’aménagement des terres autochtones de la FNBC et de la BIC réduira le coût du capital pour les communautés autochtones qui participent à l’aménagement des terres. Si un projet est admissible, toutes les approbations seront accordées par la FNBC. Cela signifie que les communautés autochtones n’auront pas à présenter une demande distincte à la BIC pour obtenir son approbation. L’impact sur les communautés peut être important, notamment en matière de création d’emplois et de mise en place d’infrastructures essentielles.
À la FNBC, il ne s’agit pas seulement de construire une banque, mais de contribuer à bâtir des nations autochtones. Cet état d’esprit est reflété par la BIC, ce qui souligne l’engagement commun envers le progrès.
Crystal Nicholas
Présidente et directrice générale intérimaire de Wskijinu’k Mtmo’taqnuow Agency Ltd.
Rencontrez Crystal Nicholas, présidente et directrice générale intérimaire de Wskijinu’k Mtmo’taqnuow Agency Ltd.
Crystal joue de nombreux rôles, notamment celui d’étudiante universitaire, de cheffe d’entreprise autochtone et de partenaire en matière d’infrastructures. Selon ses propres termes
Je suis toujours en route… pour aller et revenir de l’Université Dalhousie où je termine un diplôme de droit à temps partiel. Je connais bien le trajet entre la Première Nation de Potlotek, ma ville natale et mon lieu de résidence actuel, et Halifax. Chaque fois que je fais le voyage, je remarque le manque d’infrastructures de base et de logements dans notre communauté. Nous sommes confrontés à une crise du logement, comme beaucoup d’autres communautés des Premières Nations.
En 2019, j’ai été nommée présidente de la Wskijinu’k Mtmo’taqnuow Agency Ltd (WMA), qui se concentre sur le développement économique de nos communautés. La société WMA Ltd, détenue par 13 communautés mi’kmaq, a été créée dans le but de séparer la politique des affaires et de se concentrer uniquement sur nos directives. Nous avons l’autonomie nécessaire pour finaliser les ententes et affecter les fonds là où ils sont le plus nécessaires. Je considère WMA Ltd comme une occasion de favoriser l’unité au sein de notre province. Les projets sur lesquels nous travaillons profitent non seulement aux communautés des Premières Nations, mais contribuent également au bien-être de la Nouvelle-Écosse dans son ensemble.
En juin dernier (2023), j’ai participé au projet de stockage d’énergie en Nouvelle-Écosse, qui a bénéficié du premier prêt participatif de la BIC dans le cadre du programme de participation autochtone. J’étais emballée par l’option d’acquérir des participations et par la possibilité de participer activement au processus de réduction du carbone sur les terres dont nous sommes les gardiens.
Pour moi, une véritable réconciliation économique passe par la mobilisation des communautés, non seulement par des gestes symboliques, mais par une écoute réelle. J’ai apprécié les moments de dialogue et d’apprentissage survenus au cours du projet. Grâce aux capitaux propres, nous espérons acquérir des terrains utilisables pour les infrastructures essentielles.
Pour les autres communautés autochtones qui envisagent des partenariats, mon conseil est simple : n’ayez pas peur. Allez de l’avant et collaborez avec les promoteurs. Il existe des personnes désireuses de contribuer à l’intégration des autochtones. Continuons d’écouter, d’apprendre et de travailler ensemble à une véritable réconciliation économique.
Curtis Ross
PDG de l’Administration, aéroportuaire régionale de Thompson
Curtis Ross, PDG de l’Administration aéroportuaire régionale de Thompson, se souvient de sa rencontre avec le conseil d’administration de l’aéroport de Thompson en 2005, au cours de laquelle on lui a offert une occasion en or. La tâche à accomplir? Diriger le développement d’un nouveau terminal et des infrastructures connexes afin de lutter contre les effets des changements climatiques sur l’aérogare existante. Aujourd’hui, 20 ans plus tard, le projet a enfin abouti grâce au financement de la BIC.
M. Ross savait que le projet représenterait un défi. L’aérogare, construite à l’origine comme une structure temporaire sur un pergélisol discontinu, avait commencé à s’enfoncer dans le sol en raison de l’augmentation de la température régionale : « Parce que nous sommes éloignés de la ville, nous n’avons pas accès au financement municipal pour des projets comme celui-ci. »
« Nous sommes, par essence, l’aéroport ‹ communautaire › de Thompson. Nous offrons des services essentiels de transport de passagers et de marchandises à 37 communautés nordiques, notamment des services d’évacuation médicale et d’urgence, de lutte contre les incendies de forêt, de livraison de nourriture et d’accès à l’Université du Nord. »
Sur une note personnelle, M. Ross partage le fait que le financement obtenu auprès de la BIC lui permet de réaliser un objectif de carrière de longue date. « Mes racines manitobaines sont profondes et je suis fier que les communautés dans lesquelles j’ai grandi disposent d’une ligne de vie pour les 70 prochaines années. Cette aérogare permet à ces communautés de se mettre en valeur et de présenter les services fiables qu’elles offrent. »
« Nous sommes impatients de voir la revitalisation de la région se poursuivre. Des plans sont en cours pour une nouvelle base d’hélicoptère. Cette base accueillera des bombardiers d’eau, des logements pour les pilotes, un atelier de mécanique, une base d’équipement et huit bâtiments supplémentaires. Les équipes stationnées ici pourront être envoyées n’importe où au Canada. C’est un développement de plus vers un avenir prometteur pour la région et notre communauté. » La nouvelle aérogare et les développements à venir garantissent le maintien de services vitaux pour les communautés nordiques et ouvrent des perspectives de croissance régionale.
Cherie Brant
Associée et responsable nationale du droit autochtone chez Borden Ladner Gervais s.e.n.c.r.l., s.r.l. (« BLG »)
Au début de sa carrière, Cherie Brant s’est efforcée, selon ses propres termes, de survivre dans le domaine du droit. Avec le recul, elle se rend compte que la survie s’est transformée en prospérité.
Aujourd’hui, elle dirige le cabinet national de droit autochtone de BLG, l’un des plus grands cabinets d’avocats du Canada, et a joué un rôle de premier plan en tant que conseillère juridique dans l’élaboration de l’Initiative d’infrastructures pour les communautés autochtones (IICA) de la Banque de l’infrastructure du Canada (BIC).
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Mon identité en tant que personne autochtone est au cœur de ma carrière en tant qu’associée et responsable nationale du droit autochtone chez Borden Ladner Gervais s.r.l., s.e.n.c.r.l. (« BLG »). Tout au long de mes 20 ans de carrière, j’ai cherché à faire progresser les possibilités économiques des peuples autochtones, afin que leur place soit reconnue dans l’ensemble de l’économie canadienne.
Les Premières Nations sont confrontées à des obstacles systémiques qui limitent les formes traditionnelles de prêts garantis, mais les prêteurs, comme la BIC, reconnaissent que nous pouvons avoir accès à des revenus autonomes stables qui peuvent garantir un remboursement dans les délais. C’est pourquoi les partenariats fondés sur l’obligation de consulter les communautés autochtones sont si importants pour soutenir nos économies autochtones et permettre la réalisation des grands projets du Canada.
Il existe une réciprocité qui, lorsqu’elle se produit, profite à toutes les parties prenantes. Lorsque les communautés autochtones disent « rien sur nous sans nous », elles parlent à mon avis de ce concept de réciprocité.
En partenariat avec la BIC, j’ai aidé à développer son programme de l’IICA en faisant mieux comprendre les régimes fonciers uniques des terres des Premières Nations et en aidant la BIC à s’y retrouver dans les obligations de la Couronne en matière de consultation. Il s’agit de l’un des outils innovants de la BIC, conçu pour atteindre son objectif d’accorder au moins un milliard de dollars de prêts à des projets d’infrastructure autochtones générateurs de revenus dans l’ensemble du pays.
Depuis la création du programme, j’ai pu constater de visu comment la BIC a répondu à la demande de prêts flexibles et a guidé les communautés tout au long du processus de développement du projet.
Bien qu’elle soit un prêteur dont l’objectif est de construire plus d’infrastructures plus rapidement, la BIC fait un effort supplémentaire pour mettre les communautés autochtones en contact avec les ressources nécessaires à l’avancement de leurs projets et pour comprendre leurs points de vue uniques tout au long du processus de développement des projets.
En prêtant à des projets détenus et exploités par des communautés autochtones, comme l’installation de traitement des eaux usées de la réserve urbaine de Grasswoods, la BIC s’attache à répondre aux besoins locaux en matière d’infrastructures afin d’aider les communautés à se développer et à améliorer leur qualité de vie. Et avec l’annonce récente d’un programme visant à fournir un financement par capitaux propres aux groupes autochtones pour lesquels la BIC est déjà un prêteur, je m’attends à ce que nous voyions de grands projets financés par la BIC pour soutenir les activités de transition énergétique, tels que les projets de stockage de batteries et de petits réacteurs modulaires.
J’ai toujours dit : donnez-nous 20 ans et je vous montrerai ce que nous pouvons faire. Maintenant que nous sommes là, que nos racines sont solidement ancrées dans ce pays, et que notre histoire et nos liens continuent d’être reconnus, j’ai hâte d’entamer le prochain chapitre!
Martin Massé
Vice-président, Affaires publiques et vice-président, Développement durable, Aéroports de Montréal (ADM)
Le service public a toujours été au cœur de ma carrière professionnelle, que ce soit à la Ville de Montréal, au gouvernement du Québec ou aujourd'hui à Aéroports de Montréal (ADM). J'adhère profondément à la mission d'ADM de maintenir une coexistence harmonieuse avec son environnement, en tant qu'organisation au service de la communauté.
À titre de vice-président, Affaires publiques et Développement durable, je suis fier de l'objectif ambitieux d'ADM de parvenir à la carboneutralité d'ici 2040, soit dix ans plus tôt que l'engagement du secteur du transport aérien.
Pour parvenir à la carboneutralité, nous devrons agir rapidement pour réduire nos émissions directes, tout en travaillant avec les collectivités pour diminuer les émissions produites par les déplacements vers l'aéroport. C'est pourquoi nous visons à ce que 20 % des trajets à destination et en provenance de l'aéroport soient effectués au moyen des transports en commun d'ici 2030.
Grâce à un mode de transport plus efficace et plus fiable que celui que nous avons actuellement en service, qui est principalement constitué d'autobus, nous sommes convaincus que nous pourrons atteindre cet objectif. Le Réseau express métropolitain (REM) jouera un rôle essentiel en reliant la région métropolitaine de Montréal à l'Aéroport Montréal-Trudeau (YUL).
La contribution financière de la Banque de l’infrastructure du Canada (BIC) a été essentielle pour donner le coup d'envoi et permettre à la station REM de l'aéroport de devenir une réalité.
Au moment où la pandémie frappait de plein fouet les aéroports canadiens et ADM, et alors que nous cherchions à obtenir un financement pour la construction de la station REM, la BIC a répondu à l’appel en accordant un prêt de jusqu’à 300 millions de dollars.
Grâce au financement du projet, nous avons pu constater la solidarité remarquable de tous les niveaux de gouvernement en vue de la réalisation d'un projet de transport en commun bénéficiant à l'ensemble de la zone de chalandise de l'aéroport YUL, au Québec et à nos visiteurs.
Le REM incitera les voyageurs et le personnel de l’aéroport à utiliser des modes de transport plus respectueux de l'environnement et créera un aéroport plus accueillant, ce qui profitera aux voyageurs, au personnel et à la collectivité.
En travaillant avec la BIC, j'ai pu constater que l'organisation souhaite avoir un impact réel en investissant dans des communautés carboneutres et dans des villes durables de classe mondiale.
Nous avons hâte d'ouvrir les portes de notre station et d'accueillir plus de visiteurs et de grands talents à Montréal.
Louis Tremblay
Président et chef de la direction, FLO
En tant que cofondateur, président et chef de la direction de FLO, je participe activement à la transition vers les véhicules électriques (VE). Dans le cadre de mes fonctions, je suis fier de diriger notre réseau de recharge verticalement intégré, qui offre une infrastructure de recharge fiable pour les VE à la maison, au travail et en déplacement.
En électrifiant notre système de transport et en accélérant l’adoption des VE, nous pouvons faire avancer la lutte contre les changements climatiques. L'accès accru aux bornes de recharge publiques offrira une meilleure expérience de recharge aux électromobilistes et permettra à un plus grand nombre de personnes d’opter pour des véhicules à zéro émission.
Grâce à notre partenariat avec la BIC, nous allons presque doubler le nombre de ports de recharge rapide pour VE à travers le pays, en offrant plus de 2 000 ports de recharge fiables et de haute qualité.
Dans le marché actuel, des risques tels que l’incertitude quant au rythme et au taux d’adoption des VE et d’utilisation des bornes de recharge peuvent créer des obstacles à l’investissement privé dans l’infrastructure de recharge. Le financement de la BIC nous aide à atténuer ces risques financiers, ce qui nous permet d’accélérer l’expansion de notre réseau de recharge des VE.
Nous sommes très heureux de nous associer à une organisation déterminée à fournir l’infrastructure nécessaire pour réduire les émissions du secteur des transports et favoriser l’adoption des véhicules à zéro émission.
Carrie Hotton-MacDonald
Directrice de succursale, Edmonton Transit Service
Au sein de l’Edmonton Transit Service, je supervise les services d’autobus, de train léger sur rail (TLR), de transport adapté et de transport sur demande. En collaboration avec mon équipe dévouée, je fournis une orientation stratégique pour mettre en œuvre des plans de transport en commun à long terme pour appuyer le plan d’urbanisme et les plans d’adaptation aux changements climatiques et de transition énergétique de la ville d’Edmonton.
Pour réduire les émissions de gaz à effet de serre, nous sommes en train de remplacer les véhicules au diesel de notre parc d’autobus par des autobus à zéro émission (AZE). Bien que les autobus électriques permettent de réaliser d’importantes économies grâce à la réduction des coûts de carburant et d’entretien, leur coût initial est plus élevé, ce qui peut dissuader les municipalités de les adopter. Grâce au financement de la BIC, nous sommes parvenus à surmonter cet obstacle.
L’investissement de la BIC a permis de réaliser plus rapidement l’achat de 20 AZE et de faire passer notre parc à un total de 60 autobus électriques. Avec tous les « autobus de la BIC » désormais sur nos routes, nous progressons déjà vers l’atteinte de nos objectifs climatiques et offrons aux habitants d’Edmonton un trajet plus propre, plus silencieux et plus confortable.
En tant que leader dans le domaine de l’électrification des transports en commun, je suis heureuse que nous ayons pu nous associer à la BIC. Elle a permis à des collectivités à travers le Canada de faire l’acquisition de véhicules à zéro émission et a directement contribué à la mise en place d’un réseau de transport en commun plus durable à Edmonton.
Max Graham
Chef de la performance, Avenue Living
Dans le cadre de mes fonctions chez Avenue Living, propriétaire et exploitant d’immeubles résidentiels situés principalement dans les provinces des Prairies de l’Ouest canadien, je travaille en vue d’améliorer l’efficacité des bâtiments et d’optimiser l’expérience des résidents grâce à des projets comme les rénovations énergétiques.
La BIC, et son expérience reconnue en matière de rénovation de bâtiments à grande échelle, était le partenaire naturel pour nous aider à faire progresser la modernisation de nos appartements locatifs multifamiliaux de faible hauteur. Nous avons travaillé en étroite collaboration avec l’équipe de la BIC pour élaborer un plan d’investissement qui aurait des résultats positifs tant pour les résidents de nos immeubles et que pour l’environnement.
Dans le cadre de ce partenariat, la BIC s’est engagée à investir 120 millions de dollars dans la rénovation énergétique de
132 immeubles du portefeuille d’Avenue Living en Alberta et en Saskatchewan. Le résultat? Une meilleure efficacité énergétique et une durabilité environnementale dans plus de 6 700 résidences.
Ces projets comprennent l’installation d’une production électrique sur place, la mise en service de nouveaux systèmes de chauffage et de refroidissement à faibles émissions de carbone et l’introduction de technologies intelligentes et de systèmes de gestion de l’eau afin de réduire les coûts des services publics pour les locataires.
Je suis fier de ce que nous accomplirons avec l’aide de la BIC, en modernisant plus de bâtiments et en améliorant ainsi le quotidien d’environ 10 000 résidents.
Structures
La communauté BIC fait partie de Structures, notre magazine électronique, qui présente les points de vue des chefs de file du secteur, les progrès de nos partenariats, les membres de la communauté BIC et bien plus encore!